SE FORMER
Cours et séminaires
A l’issue de la formation, le participant :
- sera en mesure de concevoir, dimensionner et accompagner la réalisation d'une installation de pompe à chaleur dans un immeuble plurifamilial ;
- connaîtra les techniques et systèmes pertinents, le cadre légal, les règles de bon déroulement de la conception et de la mise en œuvre ;
- saura estimer correctement les coûts complets.
Intervenant
Monsieur Fabrice Rognon, ingénieur mécanicien diplômé EPFZ expert, responsable du domaine énergie – CSD ingénieurs
Public
Responsables développement durable, responsables de portefeuille ou équivalent, gestionnaires technique, ainsi que tous les professionnels des installations techniques du bâtiment et les conseillers en énergie.
Thématiques abordées
Pompes à chaleur pour les immeubles
- Aspects techniques
- Cadre légal
- Aspects financiers
S'informer
Actualités et presse
La conclusion d’un bail suppose la cession du bien loué par le bailleur au locataire. Il est extrêmement important de bien choisir son locataire car le bailleur s’expose à des risques financiers non négligeables. En effet, il peut arriver que le locataire cesse de payer son loyer durant une période plus ou moins importante ou restitue l’appartement avec des défauts importants.
Dans ces cas, les sûretés ou garantie de loyer sont, pour les baux d’habitation, un atout précieux du bailleur pour obtenir un dédommagement. Même s’il est possible pour le bailleur de résilier le bail de manière anticipée en cas de non-paiement par exemple, cette mesure ne lui permet cependant pas d’être indemnisé financièrement. Pour prévenir ces risques, le bailleur peut demander au locataire des sûretés. La constitution de sûretés doit être prévue par le contrat. Il ne s’agit pas d’une exigence légale mais d’une obligation contractuelle du locataire.
La loi prévoit que les sûretés sont fournies en espèces ou sous forme de papiers-valeurs. Le montant doit être déposé sur un compte auprès d’une banque, sur un compte d’épargne ou de dépôt, au nom du locataire. Le bailleur ne peut pas garder le montant de la garantie dans son patrimoine. Le montant reste sur un compte bloqué et ni le bailleur ni le locataire ne peuvent se servir librement. Pour les baux d’habitation, le montant de la garantie de loyer ne peut excéder trois mois de loyer. En pratique, il est fréquent que le locataire entreprenne directement les démarches en vue de constituer les sûretés et qu’il transmette ensuite toutes les informations nécessaires au bailleur.
En principe, les sûretés doivent être constituées avant la remise des locaux au locataire. Si le locataire ne constitue pas les sûretés avant la remise de l’objet loué, le bailleur peut refuser la délivrance des locaux en vertu de l’exception d’inexécution. En outre, après la fixation d’un délai supplémentaire au locataire pour s’exécuter et si cette mise en demeure reste vaine, le bailleur pourra se départir du contrat avant la délivrance de la chose.
Votre cas est différent dans la mesure où le locataire est déjà dans l’appartement. Il est cependant possible d’envisager une résiliation extraordinaire du contrat de bail vous liant à votre locataire à des conditions strictes. Une partie de la doctrine considère que la violation de l’obligation du locataire de fournir les garanties est un cas de résiliation extraordinaire du bail. En effet, la violation répétée et continue par le locataire de ses obligations contractuelles, rendant le maintien du bail insupportable, fonde un congé anticipé.
Je vous recommande d’adresser une ultime mise en demeure à votre locataire en lui impartissant un délai pour s’exécuter et constituer la garantie bancaire. Si la constitution de la garantie bancaire n’est pas effectuée dans le délai prescrit, vous pourrez résilier le contrat de bail moyennant un préavis de 30 jours pour la fin d’un mois. A titre subsidiaire, vous pouvez également résilier le contrat de bail pour sa prochaine échéance contractuelle.
Pour tout complément d’information, CGI Conseils est à votre disposition le matin de 8h30 à 11h30 au téléphone: 022 715 02 10, ou sur rendez-vous.
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Cours et séminaires
Permettre aux participants de déterminer la classification fiscale des travaux engagés afin de les utiliser dans le cadre d'une optimisation fiscale et économique pour le propriétaire.
Intervenant
Monsieur Gregory Boria, économiste-fiscaliste de CGI Conseils.
Public
Propriétaires et employés technique de régie.
Thématiques abordées
- Détermination des règles fiscales pour les travaux engagés (déductibles du revenu, plus-values ou non déductibles) en fonction du propriétaire du bien immobilier
- Analyse des dispositions particulières en matière de fiscalité des travaux
- Report des travaux liés à l'économie d'énergie
- Impact des travaux dans le cadre de l'impôt sur les bénéfices et gains immobiliers
- Analyse des règles de répartitions fiscales intercantonales.
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Cours et séminaires
Devenez expert en planification et gestion énergétique de bâtiments !
Une formation certifiante à destination des collaborateurs de régie et des gestionnaires de parc immobilier pour apprendre à intégrer l’efficience énergétique lors de la rénovation d’un bâtiment.PUBLIC CIBLE
Responsables développement durable, responsables de portefeuille ou équivalent.
PRÉREQUIS
Certificat Immobase ou 3 ans d’expérience en gérance d’immeuble.
BUT
Permettre aux participants d'acquérir une vision globale de l'efficience énergétique dans le domaine immobilier.
PROGRAMME DÉTAILLÉ
Module 1 - Approche globale - Sébastien Natta
Mardi 23 septembre : 8h30-12h30 / 13h30-17h30
- Stratégie énergétique, objectifs de réduction de CO2, de consommation d'énergie thermique et d'électricité
- Fondamentaux de la loi sur l'énergie. Interactions avec les autres politiques publiques
- Les principaux éléments ayant un impact sur la consommation énergétique d'un bâtiment
- Subventions et autres incitations financières liées au domaine de la rénovation énergétique
- Mise en place d'un plan d'assainissement énergétique et d'un suivi énergétique performant
Mardi 30 septembre : 8h30-12h30 / 13h30-17h30
Mardi 7 octobre : 8h30-12h30 / 13h30-17h30
- Principaux gisements d'optimisation énergétique
- Exploitation des ressources renouvelables locales
- Conséquences directes et indirectes des actions de performance énergétique
Module 3 - Fiscalité : impacts & opportunités des travaux énergétiques - Gregory Boria
Mardi 14 octobre : 8h30-12h30
- Détermination des règles fiscales pour les travaux engagés (déductibles du revenu, plus-values ou non déductibles) en fonction du propriétaire du bien immobilier
- Analyse des dispositions particulières en matière de fiscalité des travaux
- Analyse des règles de répartitions fiscales intercantonales
Module 4 - Planification de travaux - Guylaine Desmarais
Mardi 14 octobre : 13h30-17h30
Mardi 28 octobre : 8h30-12h30 / 13h30-17h30
- Limites des compétences de chaque acteur ainsi que les interactions entre eux, de la planification des travaux à l'exploitation du bâtiment
- Principes de base de la planification des travaux et leurs interdépendances, points clés à inscrire dans le cahier des charges
- Points clés et documents à vérifier lors de la réception des travaux
Module 5 - PAC Immo - Fabrice Rognon
Mardi 4 novembre : 9h00-12h30
- A la fin de la formation, le participant sera en mesure de concevoir, dimensionner et accompagner la réalisation d'une installation de pompe à chaleur dans un immeuble plurifamilial
- Il connaîtra les techniques et systèmes pertinents, le cadre légal, les règles de bon déroulement de la conception et de la mise en œuvre
- Il saura estimer correctement les coûts complets
Chaque module est un prérequis du suivant.
A l'issue de l'ensemble des modules, le participant passera un test afin de valider les acquis et obtenir le certificat de formation.
Dates de l'examen : Mardi 25 novembre et Mercredi 26 novembre 2025 : 8h30-13h30
Subvention et incitations financières éco21
Une subvention pouvant atteindre la moitié du montant peut être pris en charge par les SIG à la demande du participant. Condition : la régie est signataire de la convention « éco21-Immobilier ». Possibilité de remboursement a posteriori si le dernier jour de formation et la signature de la convention « éco21-Immobilier » sont sur la même année civile.
Modalité de paiement : sous validation de CGI Conseils que l’apprenant a bien suivi toute la formation et sa finance d’inscription payée.
Personne de contact - SIG : M. Jonathan Pesarisi jonathan.pesarisi@sig-ge.ch
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Cours et séminaires
Devenez expert en technique et gestion énergétique de bâtiments !
Une formation certifiante à destination des collaborateurs de régie et des gestionnaires de parc immobilier pour apprendre à intégrer l’efficience énergétique lors de la rénovation d’un bâtiment.
PUBLIC CIBLE
Gestionnaires technique, assistants technique ou équivalent.
PRÉREQUIS
Certificat Immotechnique ou 3 ans d’expérience en gérance d’immeuble.
BUT
Permettre aux participants de développer et d'harmoniser leurs connaissances et compétences techniques pour faire les bons choix au quotidien et garantir une meilleure exploitation des installations techniques.
PROGRAMME DÉTAILLÉ
Module 1 - Approche globale - Sébastien Natta
Jeudi 18 septembre : 8h30-12h30 / 13h30-17h30
- Stratégie énergétique, objectifs de réduction de CO2 , de consommation d'énergie thermique et d'électricité
- Fondamentaux de la loi sur l'énergie. Interactions avec les autres politiques publiques
- Les principaux éléments ayant un impact sur la consommation énergétique d'un bâtiment
- Subventions et autres incitations financières liées au domaine de la rénovation énergétique
- Mise en place d'un plan d'assainissement énergétique et d'un suivi énergétique performant
Jeudi 25 septembre : 8h30-12h30
- Principaux gisements d'optimisation énergétique
- Exploitation des ressources renouvelables locales
- Conséquences directes et indirectes des actions de performance énergétique
- Enveloppe thermique - Jeudi 2 octobre : 8h30-12h30
par Guylaine Desmarais - Chauffage - Jeudi 9 octobre : 8h30-12h30
par Mike Humbert - Ventilation/climatisation - Jeudi 16 octobre : 8h30 - 12h30
par Mike Humbert - Electricité/eau - Jeudi 30 octobre : 8h30 - 12h30
par Mike Humbert - Relation avec les locataires - Jeudi 6 novembre : 8h30 - 12h30
par Fabien Arévalo
Contenu des modules techniques :
- Rappel théorique
- Technique et planification
- Eléments-clés du cahier des charges
- Prestataires - comment faire le bon choix ?
- Processus administratif
- Communication / démarche commerciale
- Outils (si existants)
Support de cours + fiche technique synthétique
Validation des acquis et certifications
Chaque module est un prérequis du suivant.
A l'issue de l'ensemble des modules, le participant devra passer un test afin de valider les acquis et obtenir le certificat de formation.
Dates de l'examen de certification : mardi 11 novembre de 8h30 à 13h30 et mercredi 12 novembre de 8h30 à 13h30
Subvention et incitations financières éco21
Une subvention pouvant atteindre la moitié du montant peut être pris en charge par les SIG à la demande du participant.
Possibilité de remboursement a posteriori si le dernier jour de formation et la signature de la convention « éco21-Immobilier » sont sur la même année civile.
Modalité de paiement : sous validation de CGI Conseils que l’apprenant a bien suivi toute la formation et sa finance d’inscription payée.
Personne de contact aux SIG : SIG : M. Jonathan Pesaresi jonathan.pesarisi@sig-ge.ch
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Cours et séminaires
Fournir les outils de réflexion pour la mise en place d’une optimisation fiscale. Présentation des impôts spéciaux (IBGI, TVA) et la problématique de la fortune commerciale ou privée applicables dans le domaine de la fiscalité immobilière.
PUBLIC
Propriétaires et employés de régies au bénéfice de connaissances en fiscalité immobilière et qui désirent approfondir et développer leurs connaissances.
SUJETS TRAITÉS
- Présentation des outils de réflexion pour la mise en place d’une optimisation fiscale pour une personne physique ou une société ;
- Analyse approfondie des impôts additionnels entrant en ligne de compte dans la fiscalité immobilière (IBGI, AVS et TVA) ;
- Approfondissement de la problématique de la fortune commerciale et privée dans le cadre de l’activité immobilière (gestion, promotion et vente) ;
- Traitement et présentation des cas de taxation avec une répartition intercantonale ou internationale.
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Cours et séminaires
Présenter la fiscalité immobilière tant du point de vue de l’utilisation d’un objet que de son exploitation commerciale.
PUBLIC
Propriétaires et employés de régies souhaitant se familiariser avec les notions de fiscalité immobilière.
SUJETS TRAITÉS
- Analyse du système fiscal suisse et genevois : textes légaux et subtilités ;
- Présentation de l’imposition sur le revenu et la fortune pour différents types d’activités immobilières (gestion, promotion, vente) ;
- Etude de la fiscalité relative aux cas spéciaux pour les immeubles compris dans le patrimoine professionnel du propriétaire ;
- Traitement de l’impôt sur les bénéfices et gains immobiliers ;
- Etats locatifs et leur utilisation fiscale, etc.
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Cours et séminaires
Par Gregory Boria, économiste-fiscaliste de CGI Conseils
OBJECTIF
Fournir les éléments utiles pour comprendre et analyser des états financiers et pour tenir une comptabilité simple.
PUBLIC
Propriétaires et employés de régies souhaitant se familiariser avec les notions de comptabilité immobilière.
THÉMATIQUES ABORDÉES
- Aspects techniques de la tenue d’une comptabilité simple dans le cadre de la gestion d’un bien immobilier (entrée sortie – charges et décompte chauffage) ;
- Etude des différences comptables entre la comptabilité pour une personne physique ou une personne morale d’une part et en fonction de l’activité immobilière du propriétaire d’autre part (gestion, promotion, vente) ;
- Analyse de documents comptables (état locatif, état locatif fiscal, situation des locataires), etc. ;
- Etude de la relation entre la comptabilité immobilière et la fiscalité immobilière.
FINANCE D'INSCRIPTION
CHF 300.- pour les membres APGCI, APCG, USPI Genève et CGI - CHF 350.- pour les non-membres
Payable à réception de la facture.
Sans annulation d'ici le 6 octobre 2025, la finance d'inscription sera due.
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Actualités et presse
Lorsqu’on entend donner un congé en raison d’un projet de rénovation tel que le vôtre, l’on parle de congé-rénovation. Une telle résiliation est annulable uniquement si elle contrevient aux règles de la bonne foi. C’est au locataire de le prouver en démontrant que la résiliation ne répond à aucun intérêt objectif, sérieux et digne de protection par exemple.
Dans de nombreux arrêts, les juridictions ont considéré que la résiliation du bail en vue de vastes travaux d’assainissement de l’objet loué ne contrevient pas aux règles de la bonne foi. Il en va ainsi même si le locataire se dit prêt à rester dans l’appartement durant les travaux et à s’accommoder des inconvénients qui en résultent car selon le Tribunal fédéral sa présence entrainera en règle générale des complications, des coûts supplémentaires ou une prolongation de la durée des travaux.
Selon la jurisprudence, une résiliation fondée sur une rénovation est contestable uniquement s’il apparaît que la présence du locataire ne compliquerait pas les travaux ou seulement de manière insignifiante, par exemple en cas de réfection des peintures ou en cas de travaux extérieurs tel qu’une rénovation de façade ou un agrandissement de balcon.
Il s’agit ainsi de déterminer dans quelle mesure la réalisation des travaux envisagés dans l’objet loué serait compliquée ou retardée par la présence du locataire dans les lieux.
Selon la jurisprudence, l’élément déterminant pour exclure le caractère abusif du congé réside dans les retards ou les complications qu’entraînerait la présence du locataire durant les travaux. Si de tels retards ou complications ne sont pas à craindre, la réalisation des travaux ne justifie en principe pas le congé. En outre, le Tribunal fédéral a eu l’occasion de préciser que le congé est abusif si le projet du bailleur d’entreprendre des rénovations ne présente pas de réalité tangible ou s’il n’est pas possible d’apprécier l’importance des travaux envisagés, notamment l’entrave provoquée par ceuxci sur l’utilisation à venir des locaux loués.
Le congé doit également être annulé en raison de son caractère abusif si le projet de construction ou de transformation est objectivement impossible, notamment s’il est certain qu’il se heurtera à un refus d’autorisation de la part des autorités administratives compétentes.
Un projet détaillé
Il vous appartiendra ainsi de rendre vraisemblable la nécessité d’entreprendre les travaux invoqués et votre volonté réelle de les effectuer. Même si vous n’avez pas encore obtenu les autorisations nécessaires, vous devrez avoir un projet précis et détaillé des travaux envisagés. De vagues intentions ne sont pas suffisantes.
Pour tout complément d’information, CGI Conseils est à votre disposition le matin de 8h30 à 11h30 au tél. 022 715 02 10 ou sur rendez-vous.
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Actualités et presse
La propriété par étages implique une distinction fondamentale entre les parties communes et les parties exclusives. La distinction est primordiale puisque la communauté des propriétaires d’étages se répartit les charges relatives aux parties communes, chacun demeurant tributaire des charges concernant son lot exclusif.
La loi mentionne, de manière exhaustive, les éléments qui doivent demeurer des parties communes et qui ne peuvent donc pas être constitués en droit exclusif. Parmi ces éléments figurent les parties importantes pour l’existence, la disposition et la solidité du bâtiment. Il est communément admis que la toiture est toujours une partie élémentaire du bâtiment et qu’elle constitue donc par définition une partie commune.
La répartition des coûts liés à un espace commun dont seul l’un des propriétaires d’étages dispose d’un droit particulier peut être prévue dans le règlement d’utilisation de la PPE, sous réserve des règles impératives imposées par la loi.
Dans ce registre, la loi impose notamment qu’il ne peut pas être convenu qu’un ou plusieurs propriétaires d’étages soient déchargés de la prise en charge des frais d’entretien d’une partie du bâtiment dont la fonction est indispensable au sein de la PPE, telle que la terrasse sur le toit, en raison du fait que le toit est une partie indispensable de la structure du bâtiment.
Si les travaux envisagés n’apportent aucun avantage aux autres propriétaires d’étages et qu’ils ne relèvent pas de l’entretien d’une partie élémentaire du bâtiment, leur prise en charge revient au propriétaire d’étages jouissant du droit d’usage particulier. Tel sera le cas du propriétaire d’étages qui souhaite installer un potager sur sa terrasse en toiture.
À noter que des travaux rendus nécessaires des suites d’un usage inadéquat par le propriétaire d’étages bénéficiaire du droit d’usage particulier ne seront en principe pas supportés par la communauté mais par le propriétaire d’étages négligent.
Notre lecteur nous rapporte des travaux liés à l’étanchéité du bâtiment, soit une partie obligatoirement commune de la communauté des propriétaires d’étages puisqu’elle revêt une importance déterminante pour son ensemble. Les coûts liés auxdits travaux devront être mis à la charge de l’ensemble de la communauté des propriétaires d’étages et non exclusivement de notre lecteur.
À noter également que si les travaux portant sur l’étanchéité du bâtiment entraînent une intervention sur les parties exclusives de notre lecteur, il appartiendra a priori à la PPE d’assumer les frais consécutifs à l’intervention sur ses parties exclusives.
Pour tout complément d’information, CGI Conseils est à votre disposition le matin de 8h30 à 11h30 au tél. 022 715 02 10 ou sur rendez-vous.